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Comment ça marche?
La greffe de moelle épinière ou de moelle osseuse est une procédure utilisée sous certaines conditions chez des patients souffrant principalement de maladies du sang, telles que la leucémie, certains types de cancers de la moelle épinière, lymphomes, l’anémie aplastique, la thalassémie, la drépanocytose et certaines maladies métaboliques ou immunodéficientes congénitales. Bien que l’expression « greffe de moelle osseuse » soit utilisée, il serait en fait plus correct de parler de greffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH), que l’on trouve précisément dans la moelle osseuse mais aussi, dans une moindre mesure, dans le sang périphérique et le cordon ombilical. Comme les autres types de transplantation, la greffe de cellules souches hématopoïétiques implique également une procédure basée non seulement sur la stabilisation de l’état de santé du patient, mais surtout sur la recherche d’un échantillon compatible prélevé sur un donneur (qui peut être le patient lui-même) et son infusion chez le receveur.
Les greffes de cellules souches sont recommandées si :
Les tarifs d’une greffe de la moelle épinière varient selon qu’il s’agit d’une greffe autologue ou allogène. Cliquez sur le bouton de demande de devis en ligne sur notre site pour connaître les tarifs exacts de la greffe de moelle épinière.
La greffe allogénique est effectuée lorsque les CSH sont prélevées sur un membre de la famille ou sur un donneur non familial compatible. Des fois, lorsque les circonstances le permettent, certains patients peuvent avoir recours à la transplantation syngénique, entre autres lorsque le donneur et le receveur sont des jumeaux monovolumes, plus communément appelés jumeaux monozygotes. Comme on peut le deviner, la compatibilité entre le donneur et le receveur est beaucoup plus élevée dans le cas de l’autogreffe et de la greffe syngénique, puisque les jumeaux monozygotes partagent le même patrimoine génétique, mais la première option a ses limites, tandis que la troisième est assez rare. En effet, le pourcentage de patients ayant besoin d’une greffe de moelle osseuse et ayant un vrai jumeau est très faible. Le receveur est atteint d’une maladie, comme une leucémie ou un cancer du sang, qui nécessite une chimiothérapie et une radiothérapie. Or, comme on le sait, ces thérapies ont tendance à affecter non seulement les cellules cancéreuses, mais aussi les cellules saines, dont les cellules souches produites par la moelle osseuse.
La greffe de moelle épinière ou de moelle osseuse, c’est-à-dire la transplantation de cellules souches hématopoïétiques, peut se faire de plusieurs manières, dont l’une est l’autogreffe, c’est-à-dire que les cellules sont prélevées sur le receveur lui-même, c’est-à-dire que le donneur et le receveur coïncident.
Rappelons tout d’abord qu’une greffe est le remplacement d’une moelle osseuse malade ou non fonctionnelle par des cellules souches saines capables de régénérer toutes les cellules sanguines. Avant la greffe, le patient doit cependant subir une chimiothérapie et/ou une radiothérapie à haute dose (traitement de conditionnement) afin de détruire les cellules malades présentes et de faire de la place aux nouvelles cellules qui seront greffées. Si les cellules souches proviennent d’un donneur, le receveur doit, avant la transplantation, prendre des médicaments pour supprimer le système immunitaire (immunosuppresseurs) et éviter le rejet. À ce stade, les cellules souches peuvent être perfusées au patient, selon une procédure similaire à celle d’une transfusion sanguine. Il faut environ 2 à 3 semaines pour que les nouvelles cellules prennent racine et commencent à repeupler la moelle osseuse détruite par la chimiothérapie/radiothérapie et à produire de nouvelles cellules sanguines.
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Après la greffe de moelle épinière, certains médicaments sont administrés pour prévenir les complications et une hospitalisation d’environ 1 à 2 mois est prévue. Chez la plupart des patients qui reçoivent une greffe de moelle osseuse, il faut environ un an pour se rétablir.
Le choix de la greffe doit être mûrement réfléchi entre le médecin, le patient et les membres de sa famille, en leur laissant la décision finale. La greffe de moelle osseuse est aujourd’hui une réalité. La probabilité de guérison est élevée, mais il ne faut pas sous-estimer certains risques graves. Cependant, tout le monde ne peut pas y avoir recours en raison de l’absence, dans 70 % des cas, d’un donneur identique et parce que, parfois, l’état de santé, en raison de plusieurs facteurs de risque présents, ne le permet pas. L’adoption de nouvelles techniques basées sur l’utilisation des cellules contenues dans le cordon ombilical des nouveau-nés est d’une grande importance, car elle ouvre de nouvelles voies à cette méthode de guérison, sur laquelle nous espérons pouvoir bientôt compter en toute confiance.
Globalement, après évaluation de toutes les données connues dans le monde, on peut dire qu’en moyenne, les risques d’une greffe de moelle osseuse (réalisée pour des problèmes de thalassémie, une maladie héréditaire entraînant une anémie) sont élevés et peuvent être résumés comme suit:
Questions fréquentes
Les critères d’éligibilité incluent des facteurs tels que l’état général de santé du patient, la compatibilité avec le donneur, la nature et le stade de la maladie hématologique, ainsi que l’absence d’infections ou de maladies concomitantes graves.
La récupération après une greffe de la moelle épinière peut varier, mais la période initiale d’hospitalisation dure généralement environ 3 à 4 semaines, suivie de plusieurs mois de suivi régulier et de soins ambulatoires.
Les principaux risques incluent le rejet de la greffe, les infections, les réactions de greffon contre l’hôte (GVHD), les effets secondaires des médicaments immunosuppresseurs et les complications hémorragiques.
La qualité de vie à long terme peut s’améliorer de manière significative pour de nombreux patients, mais certains peuvent éprouver des complications chroniques, telles que la GVHD chronique, la fatigue persistante et les effets secondaires des traitements.
Oui, les alternatives peuvent inclure des thérapies médicamenteuses, la chimiothérapie, la radiothérapie et des traitements ciblés. Le choix du traitement dépend de la nature spécifique de la maladie et de l’état de santé du patient.
Les taux de réussite peuvent varier, mais les enfants ont souvent des taux de réussite légèrement plus élevés en raison de leur capacité de régénération et de récupération plus élevée par rapport aux adultes.
La recherche d’un donneur compatible commence par la famille proche, suivie de l’utilisation de registres de donneurs nationaux et internationaux. Les tests de compatibilité incluent des analyses HLA pour s’assurer de la meilleure correspondance possible.
Les soins post-greffe incluent des suivis médicaux réguliers, des médicaments immunosuppresseurs pour prévenir le rejet, une surveillance des signes d’infection, une alimentation équilibrée, et des soins psychologiques et physiques.
L’adhésion stricte aux traitements immunosuppresseurs est cruciale pour prévenir le rejet de la greffe et les complications de GVHD. Un suivi médical rigoureux est essentiel pour ajuster les doses et gérer les effets secondaires.
Les progrès récents incluent l’utilisation de thérapies géniques, de nouvelles techniques de conditionnement moins toxiques, l’amélioration des traitements immunosuppresseurs, et le développement de traitements ciblés pour réduire les risques de complications post-greffe.