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Comment ça marche?
La myomectomie est une opération pour retirer les fibromes utérins, aussi appelés myomes. Ces excroissances communes non cancéreuses apparaissent dans l’utérus. Le développement des fibromes utérins survient généralement entre 30 et 45 ans, mais peut également survenir à tout âge. Ce type d’intervention consiste à enlever les fibromes présents dans le myomètre et le tissu utérin. Contrairement à l’hystérectomie, qui nécessite l’ablation de tout l’utérus, la myomectomie ne requiert que le retrait des fibromes. Les femmes qui ont eu recours a cette opération rapportent une amélioration de leurs symptômes liés aux fibromes. Ces symptômes sont généralement une diminution des saignements menstruels abondants et de la pression pelvienne.
Si vous souffrez de fibromes qui perturbent votre quotidien, votre gynécologue peut vous proposer une myomectomie. Cette intervention pourrait vous soulager considérablement. Nous mentionnons principalement les saignements et règles abondantes. Lorsqu’une intervention chirurgicale est nécessaire, il est préférable d’opter pour une myomectomie plutôt qu’une hystérectomie en cas de fibromes utérins, si vous désirez tomber enceinte, si vous rencontrez des difficultés de fertilité ou si vous souhaitez tout simplement conserver votre utérus.
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Pour aider les femmes souffrant de fibromes utérins, la myomectomie est une solution chirurgicale efficace et fréquemment utilisée. Cependant, il est important de prendre en compte plusieurs critères pour déterminer si la patiente est une candidate adéquate. Tout d’abord, il est essentiel de considérer le type de fibromes utérins présents chez la patiente. Ils peuvent être classés en différents types tels que les fibromes sous-séreux, intramuraux ou sous-muqueux. Les fibromes sous-muqueux, qui se développent sous la muqueuse utérine, peuvent être traités efficacement par une myomectomie. Cependant, il peut être plus ardu de les retirer en utilisant cette procédure lorsqu’il s’agit de fibromes intramuraux ou sous-séreux.
La décision de pratiquer ou non une myomectomie dépend de plusieurs facteurs, tels que l’emplacement, la taille et le nombre des fibromes présents chez la patiente. En effet, si les fibromes sont situés près des trompes de Fallope ou de l’ovaire, la procédure pourrait être plus compliquée et entraîner un risque accru de complications. De plus, si les fibromes sont de grande taille ou multiples, une intervention chirurgicale plus complexe pourrait être nécessaire. Le bien-être général de la patiente est également un élément pris en compte. Il est important de noter que certains problèmes de santé, peuvent accroître le risque de complications lors d’une intervention chirurgicale. De plus, les femmes qui ont déjà subi une intervention abdominale peuvent présenter une cicatrice importante, ce qui peut également augmenter le risque de complications lors d’une myomectomie.
Pour prendre une bonne décision concernant la santé et la fertilité de la patiente, il est essentiel de considérer ses projets de grossesse. Si elle envisage d’avoir des enfants à l’avenir, la myomectomie est une meilleure option comparée à l’hystérectomie. Cette dernière, en effet, retire entièrement l’utérus. Toutefois, il est important de noter que la myomectomie comporte des risques accrus de complications durant la grossesse, telles que l’accouchement prématuré. Ainsi, le choix d’une patiente pour la procédure de myomectomie dépend de divers éléments tels que le type, la taille et l’emplacement des fibromes utérins, ainsi que l’état de santé global et les désirs de grossesse de la patiente. Il est essentiel pour les professionnels de la santé d’évaluer chaque patiente avec attention avant de recommander une myomectomie. On conseille une discussion approfondie des risques et des avantages de cette procédure.
Pour traiter les fibromes utérins, une opération chirurgicale appelée myomectomie est souvent recommandée. Ces tumeurs bénignes peuvent causer des problèmes de santé chez certaines femmes. La myomectomie peut être effectuée de différentes manières, notamment via une laparoscopie ou une hystéroscopie. Cette dernière implique l’utilisation d’une caméra afin d’enlever les fibromes à travers le col de l’utérus. Le médecin ainsi n’a pas besoin de faire des incisions externes. Cette technique est préférée car elle est moins invasive et offre une récupération plus rapide avec moins de cicatrisation. Il est primordial de souligner que la guérison après une myomectomie peut varier en fonction de plusieurs éléments, tels que la quantité et la taille des fibromes enlevés, ainsi que la méthode opératoire choisie.
La myomectomie est une opération fréquente pour les femmes souffrant de fibromes utérins et peut s’avérer bénéfique pour celles désirant concevoir ou préserver leur fertilité. Toutefois, comme toute procédure chirurgicale, elle comporte des risques et des complications potentielles, notamment des saignements, des infections et des dommages aux organes voisins. En bref, la myomectomie par hystéroscopie est une option moins invasive pour éliminer les fibromes utérins, permettant une récupération plus rapide et moins de souci de cicatrisation. Toutefois, la guérison après la myomectomie peut varier selon différents facteurs, donc il est crucial d’en discuter avec votre chirurgien pour comprendre les avantages et les risques potentiels de cette procédure.
Pour remédier aux fibromes utérins, il existe une procédure chirurgicale appelée myomectomie. Ces tumeurs bénignes se forment dans l’utérus de certaines femmes. L’opération peut être réalisée de plusieurs manières, telles que la laparoscopie ou la laparotomie. Lors d’une myomectomie par laparotomie, une incision est faite dans l’abdomen afin de retirer les fibromes présents dans l’utérus. Bien que cette méthode soit plus invasive que la laparoscopie, elle peut être nécessaire dans des cas où les fibromes sont de grande taille ou localisés dans des zones difficiles d’accès. En optant pour la myomectomie par laparotomie, vous devez garder à l’esprit que le processus de guérison est plus long que d’autres méthodes et que la période de récupération est plus étendue. Toutefois, cette technique peut offrir un taux de réussite élevé en termes de suppression des fibromes et de préservation de la fertilité.
Comme toute intervention chirurgicale, la myomectomie par laparotomie comporte des risques et des complications possibles tels que des saignements, des infections et des dommages aux organes environnants. Il est donc essentiel de prendre le temps de discuter avec votre chirurgien des avantages et des risques potentiels de cette procédure avant de prendre une décision. En résumé, la myomectomie par laparotomie est une option plus invasive pour ôter les fibromes utérins, mais peut s’avérer nécessaire dans certains cas. Bien que la guérison après une telle opération puisse prendre plus de temps que pour d’autres méthodes, elle offre un taux de réussite élevé en termes d’élimination des fibromes et de préservation de la fertilité. Comme pour toute intervention chirurgicale, il est crucial de discuter des avantages et des risques potentiels avec votre chirurgien avant de prendre une décision.
La myomectomie consiste à retirer les fibromes utérins lors d’une opération chirurgicale. Le gynécologue peut opérer de diverses manières, notamment grâce à la cœlioscopie. Par rapport à la laparotomie, l’utilisation de la cœlioscopie pour la myomectomie est moins invasive car elle consiste en de petites incisions dans l’abdomen pour accéder à l’utérus et retirer les fibromes.
En raison de la taille réduite des incisions, la cicatrisation est généralement plus rapide avec la cœlioscopie qu’avec la laparotomie. De plus, le temps de récupération est également plus court. Cette méthode présente également un risque de complications plus faible, telles que des saignements et des infections post-opératoires. Cependant, il est important de souligner que la possibilité de réaliser une myomectomie par cœlioscopie peut varier selon les types de fibromes utérins. Des éléments tels que la taille, l’emplacement et le nombre de fibromes peuvent influencer la viabilité de cette technique. De plus, certaines femmes peuvent ne pas être des candidates idéales pour une cœlioscopie en raison de problèmes de santé préexistants ou d’autres facteurs.
En fin de compte, le choix de la méthode de myomectomie sera déterminé en fonction de la situation spécifique de chaque patiente. Pour choisir la méthode la plus adaptée à chaque cas, il est crucial de travailler en étroite collaboration avec un chirurgien expérimenté afin d’évaluer les avantages et les risques spécifiques à chaque méthode. En somme, la myomectomie par cœlioscopie s’avère être une alternative moins invasive à l’ablation des fibromes utérins, offrant une guérison plus rapide et un risque de complications plus faible par rapport à la laparotomie. Néanmoins, il est important de noter que cette méthode peut ne pas convenir à tous les types de fibromes et que le choix de la méthode doit être pris en collaboration avec un chirurgien compétent.
La myomectomie est une intervention chirurgicale fréquemment utilisée pour enlever les fibromes utérins. Il existe plusieurs techniques pour réaliser cette opération, dont l’une se fait par voie vaginale. Cette méthode consiste à insérer un instrument appelé hystéroscope par le canal vaginal afin d’accéder à l’utérus et retirer les fibromes. La guérison après une myomectomie par voie vaginale est généralement plus rapide que par d’autres procédures chirurgicales, car la coupure est limitée au canal vaginal.
Il convient de noter que cette méthode chirurgicale présente un risque de complications post-opératoires moindre par rapport à d’autres techniques telles que la laparotomie. Toutefois, il est important de souligner que la myomectomie par voie vaginale peut ne pas convenir à tous les types de fibromes utérins. En effet, les fibromes de grande taille ou situés dans certaines parties de l’utérus peuvent être difficiles à retirer par cette méthode. De plus, il est possible que cette intervention ne soit pas recommandée pour les femmes ayant des antécédents de césarienne ou d’autres chirurgies abdominales.
Comme dans toute opération chirurgicale, il existe des risques associés à la myomectomie par voie vaginale. Ces risques potentiels englobent des saignements abondants, des infections, des dommages aux organes environnants et des problèmes de guérison. Il est vivement conseillé aux patientes de parler avec leur chirurgien des risques et des avantages liés à cette méthode chirurgicale spécifique, afin de bien comprendre les implications de l’intervention. En résumé, la myomectomie vaginale peut être envisagée comme une solution chirurgicale pour retirer les fibromes de l’utérus. En effet, elle offre une guérison plus rapide et un risque moindre de complications post-opératoires par rapport à d’autres méthodes.
Il est important de prendre en compte les souffrances potentielles causées par les fibromes utérins chez les femmes. Ces souffrances peuvent être par exemple des douleurs intenses, des saignements abondants. Lorsque les médicaments ne suffisent pas à atténuer ces symptômes, la chirurgie peut être envisagée. Deux options couramment utilisées pour traiter les fibromes utérins sont la myomectomie et l’hystérectomie. La première consiste à enlever les fibromes tout en préservant l’utérus, une option recommandée pour les femmes qui souhaitent préserver leur fertilité ou éviter une hystérectomie. L’opération de l’hystérectomie est une procédure qui implique l’ablation complète de l’utérus. Elle est généralement recommandée aux femmes qui ne désirent plus d’enfants ou qui ont des fibromes utérins trop volumineux pour être enlevés par d’autres méthodes.
En choisissant la myomectomie, une femme peut conserver son utérus et sa capacité à concevoir. Elle peut également soulager les symptômes des fibromes sans impacter la fonction ovarienne normale. Cependant, l’hystérectomie offre l’avantage d’éliminer tout risque de réapparition des fibromes, car l’utérus est complètement retiré. Cependant, les deux interventions comportent des risques. La réalisation d’une myomectomie peut potentiellement causer des problèmes tels que :
De même, une hystérectomie peut présenter des risques tels que :
En outre, cette intervention peut mener à une ménopause prématurée en raison d’une altération possible des ovaires. Les symptômes susceptibles de se manifester sont notamment :
Lorsque vous envisagez une intervention chirurgicale pour traiter vos fibromes utérins, il est important d’examiner attentivement les risques et les avantages de chaque option avec votre chirurgien. Bien que la myomectomie et l’hystérectomie soient des interventions chirurgicales couramment utilisées, elles présentent chacune des bénéfices et des risques à considérer. D’un côté, la myomectomie permet de conserver l’utérus et la possibilité de concevoir un enfant, tandis que l’hystérectomie élimine tout risque de réapparition des fibromes. Toutefois, il est essentiel de discuter en détail de ces options avec votre chirurgien avant de prendre une décision qui répondra le mieux à vos besoins et préoccupations personnels.
La procédure de myomectomie comporte des risques potentiels tels que :
En outre, des cicatrices internes peuvent parfois se former après la myomectomie, pouvant entraîner des douleurs ou des saignements ultérieurs.
L’opération hystérectomie peut engendrer des conséquences redoutables telles que :
Mais rassurez-vous, la plupart des femmes qui ont subi une myomectomie ou une hystérectomie se rétablissent sans complication et se sentent enfin soulagées des symptômes causés par les fibromes utérins. Toutefois, il est primordial d’échanger avec votre chirurgien des risques spécifiques liés à chaque intervention afin de prendre une décision éclairée en toute confiance.
En optant pour une myomectomie plutôt qu’une hystérectomie, vous bénéficiez de nombreux avantages. Tout d’abord, cette intervention vous permet de conserver votre utérus et ainsi, de préserver votre capacité à concevoir un enfant dans le futur. C’est donc une option plus adaptée pour les femmes souhaitant fonder une famille. De plus, la myomectomie peut réduire voire éliminer complètement les symptômes associés aux fibromes utérins, tels que des douleurs abdominales, des règles abondantes et des douleurs durant les rapports sexuels, sans perturber l’équilibre hormonal de votre corps. Il s’agit donc d’une alternative de traitement moins invasive que l’hystérectomie. Enfin, Le fait de choisir la myomectomie par voie vaginale ou laparoscopique peut aboutir à une période de convalescence plus courte et moins douloureuse que l’hystérectomie par laparotomie.
Pour résumer, cette intervention présente des avantages pour les femmes qui souhaitent garder leur utérus et leur capacité de procréer, tout en bénéficiant d’un soulagement des symptômes liés aux fibromes utérins. Néanmoins, il est important d’en discuter avec un chirurgien pour déterminer la meilleure option en fonction de la situation personnelle de chaque patiente.
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La présence de fibromes dans l’utérus provoque souvent une anémie à cause du saignement. Pour réduire les dangers liés à la procédure de myomectomie, le gynécologue pourrait suggérer la prise de suppléments de fer et de vitamines. Si vous avez une carence en fer en raison de règles abondantes, le gynécologue pourrait vous prescrire ce traitement pour augmenter votre taux d’hémoglobine. Une autre méthode pour traiter l’anémie consiste à suivre une thérapie hormonale avant la myomectomie. Il est possible que votre médecin vous recommande un agoniste de l’hormone de libération de la gonadotrophine, des pilules contraceptives ou d’autres médicaments hormonaux pour réduire votre flux menstruel. Ces traitements vont inhiber la production d’œstrogènes et de progestérone. Cela entraine l’arrêt des menstruations et vous permettant de renouveler vos réserves en hémoglobine et en fer.
Avant de pratiquer la myomectomie, le médecin procédera à une échographie pelvienne pour confirmer la taille et le nombre de fibromes présents. Un bilan sanguin sera également avant l’intervention pour vérifier si l’anémie a été bien traitée ou pas. Si tel est le cas, l’opération pourra être planifiée. Toutefois, si l’anémie persiste, le gynécologue et le médecin anesthésiste devront déterminer s’il est préférable de maintenir la myomectomie ou de la reporter afin de traiter l’anémie au préalable.
La période de convalescence après une myomectomie est essentielle pour assurer une récupération complète de la patiente. Avant de se rendre au bloc opératoire, on administre à la patiente une pré-médication afin de diminuer son stress et son anxiété. Une fois arrivée au bloc, une liste de vérification sera scrupuleusement suivie. Cela se fait afin de garantir que toutes les étapes ont été respectées et que tout est en place pour l’intervention. Une perfusion sera également mise en place avant le début de l’opération, permettant l’administration de liquides et de médicaments directement en intraveineux. La myomectomie peut être effectuée de plusieurs manières telles que par voie abdominale, laparoscopique ou par voie vaginale. La durée de l’intervention dépendra des caractéristiques des fibromes tels que leur taille, leur nombre et leur emplacement.
Après l’opération, le personnel soignant surveille la patiente dans une unité de soins intensifs ou une salle de réveil. Une fois réveillée, le personnel soignant la transfere dans une chambre d’hospitalisation. La durée de l’hospitalisation varie selon la méthode chirurgicale utilisée et la rapidité de récupération de la patiente. En moyenne, une hospitalisation de deux à trois jours est nécessaire. Avant la sortie de l’hôpital, la patiente recevra des conseils pour assurer son rétablissement dans son propre foyer. Ces indications pourront comprendre :
Il est crucial de mentionner que le processus de récupération après une myomectomie peut durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois. La patiente éprouvera des douleurs mineures à modérées et une sensation de fatigue au cours des premiers jours qui suivent l’intervention. Elle doit également s’abstenir d’activités physiques intenses et de rapports sexuels tant que son médecin ne lui en a pas donné l’autorisation.
En conclusion, la récupération après une myomectomie est un processus important qui nécessite une attention particulière. Avant d’intervenir, une liste de vérification sera effectuée pour assurer la sécurité de la patiente. Après l’opération, la patiente sera étroitement surveillée jusqu’à son réveil complet, puis transférée dans une chambre d’hospitalisation. La durée de son séjour à l’hôpital dépendra de la technique chirurgicale utilisée et de sa récupération rapide. Une fois qu’elle sera prête à rentrer chez elle, la patiente recevra des instructions pour sa récupération à domicile.
Après avoir subi une myomectomie, il est essentiel d’accorder une période de convalescence pour permettre à l’organisme de guérir et de récupérer entièrement. La durée de cette période varie en fonction de :
Dans le cas où on effectue la myomectomie par laparotomie, la convalescence peut durer sur plusieurs semaines. Il est courant de ressentir des douleurs dans l’abdomen et le bassin, nécessitant parfois la prise d’analgésiques pour les apaiser. Après l’intervention, la patiente se doit de :
Pour maintenir une bonne hydratation et favoriser une guérison efficace après une myomectomie, il faut augmenter sa consommation d’eau et adopter une alimentation riche en nutriments, en privilégiant notamment les légumes, les fruits, les protéines maigres et les grains entiers. En parallèle, il est crucial de prendre soin de la cicatrice. En effet, il faut la garder propre et sèche, en changeant régulièrement les pansements. Il faut aussi éviter de l’humidifier avant d’avoir reçu le feu vert de son médecin traitant.
Les résultats de la myomectomie peuvent inclure:
Une fois la myomectomie réalisée, la majorité des femmes constatent un soulagement des signes et symptômes.
Les femmes ayant subi une myomectomie laparoscopique, avec ou sans assistance robotique, constatent une amélioration significative de leurs résultats de grossesse au cours de l’année suivante. Le médecin recommande un délai de trois à six mois après l’opération avant de tenter une conception, afin de permettre à l’utérus de guérir.
Les fibromes que votre médecin ne détecte pas pendant l’opération ou qu’il ne retire pas complètement, pourraient éventuellement grandir et provoquer des symptômes. De nouveaux fibromes, qui peuvent ou non nécessiter un traitement, peuvent également se développer. Il est important de souligner que les femmes atteintes d’un seul fibrome ont un risque moindre de développer d’autres fibromes que celles atteintes par plusieurs. De plus, les femmes qui tombent enceintes après une opération ont un risque plus faible de développer de nouveaux fibromes.
Les fibromes utérins présentent une gêne pour les femmes. Si vous voulez organiser une myomectomie, Tunisie Destination Santé peut vous accompagner lors de votre séjour médical dès votre arrivée à l’aéroport. N’hésitez pas à prendre contact avec vous pour votre myomectomie.
La myomectomie est une excellente option pour les femmes souhaitant une grossesse future, notamment parce qu’elle permet de préserver l’utérus. Contrairement à l’hystérectomie, qui enlève l’utérus en entier, la myomectomie se concentre uniquement sur l’ablation des fibromes.
Il existe un risque de récidive des fibromes après une myomectomie. Les études montrent que 15 à 30 % des femmes peuvent développer de nouveaux fibromes dans les dix ans suivant la chirurgie.
Oui, le médecin peut réaliser la myomectomie par laparoscopie, une technique moins invasive qui utilise de petites incisions. Cela peut entraîner une récupération plus rapide et moins de douleur post-opératoire par rapport à la chirurgie ouverte traditionnelle.
Le temps de récupération varie selon la méthode chirurgicale. En effet, pour une myomectomie ouverte, la récupération peut prendre de 4 à 6 semaines, tandis qu’une myomectomie laparoscopique peut nécessiter seulement 2 à 4 semaines.
Oui, il est possible de traiter plusieurs fibromes au cours d’une seule myomectomie. Le chirurgien retirera autant de fibromes que possible tout en préservant le tissu utérin sain.
La myomectomie peut améliorer les chances de conception chez les femmes souffrant d’infertilité due aux fibromes. Cependant, chaque cas est unique, et certaines femmes peuvent éprouver des complications liées à la cicatrisation qui pourraient affecter la fertilité.
La préparation peut inclure des examens médicaux, l’arrêt de certains médicaments, et des instructions spécifiques de votre médecin concernant l’alimentation et l’hydratation avant l’opération. Une préparation minutieuse est essentielle pour minimiser les risques et améliorer la récupération.
Les signes de complications peuvent inclure une douleur intense, une fièvre, des saignements excessifs, ou des signes d’infection. Il est crucial de contacter immédiatement un professionnel de santé si ces symptômes apparaissent.
La myomectomie a un taux de succès élevé, avec environ 80 à 90 % des femmes signalant une amélioration significative des symptômes, tels que les douleurs pelviennes et les saignements menstruels abondants.
Les alternatives incluent les médicaments hormonaux, l’embolisation des artères utérines (EAU), le traitement par ultrasons focalisés guidés par IRM, et l’hystérectomie. Chaque option a ses avantages et inconvénients. C’est pourquoi le choix revient au médecin.